L’Evangile selon Thomas, rédigé probablement vers le milieu du 2e siècle de notre ère, est une collection de 114 dits ou paroles (Logia) attribués à «Jésus le Vivant».
L’Evangile selon Luc, rédigé avant la fin du 1er siècle, est l’un des 3 Evangiles synoptiques qui mettent en scène les récits, enseignements, activités ainsi que la destinée du Maître de Nazareth. Entre Thomas et Luc, il y a certes des divergences, mais plusieurs points de convergence aussi. Ainsi, la référence au Royaume de Dieu - à sa localisation et à sa fonction -, joue un rôle capital. Qu’est-ce que ce «Royaume» sinon la découverte de la proximité bienfaisante et insaisissable du «Dieu vivant». La métaphore du Royaume désigne alors l’expérience de la Présence paradoxale du «divin» parmi les hommes comme en tout ce qui est. Mais qu’en est-il quand cette Présence se fait Absence ?
Lors de cette journée, nous approfondirons quelques-unes de ces paroles qui cherchent à éveiller tout un chacun à la Réalité ultime présente au cœur même des réalités ambivalentes de la vie.
L’Evangile selon Luc, rédigé avant la fin du 1er siècle, est l’un des 3 Evangiles synoptiques qui mettent en scène les récits, enseignements, activités ainsi que la destinée du Maître de Nazareth. Entre Thomas et Luc, il y a certes des divergences, mais plusieurs points de convergence aussi. Ainsi, la référence au Royaume de Dieu - à sa localisation et à sa fonction -, joue un rôle capital. Qu’est-ce que ce «Royaume» sinon la découverte de la proximité bienfaisante et insaisissable du «Dieu vivant». La métaphore du Royaume désigne alors l’expérience de la Présence paradoxale du «divin» parmi les hommes comme en tout ce qui est. Mais qu’en est-il quand cette Présence se fait Absence ?
Lors de cette journée, nous approfondirons quelques-unes de ces paroles qui cherchent à éveiller tout un chacun à la Réalité ultime présente au cœur même des réalités ambivalentes de la vie.